Mon sang coule dans mes veines et irrigue mon cerveau, mes pensées fluctuent sans aucun barrages qui viendraient m'entraver, me lier, m'empêcher de m'exprimer. Personne pour me dire le mot fatidique tant redouté. Ces idées sont eux même reliés à mes doigts qui galopes sur mon clavier au rythme de la musique tel un cheval fougueux que l'on vient de libérer et qui va courir dans la plaine, libre et seul maitre de lui même. En effet, je suis libre, je peux enfin m'exprimer autant que je veux, à la vitesse que je souhaite sans personne pour me rattacher au piquet auquel on m'avait mis, d'un grand coup de maillet, d'un simple et tous bête : TAGUEULE PAUL. Enfin libre mais pour combien de temps ...
(écrit il y a déjà un petit moment sur face de livre)
paulux
pouet ?
Dimanche 4 janvier 2009 à 17:18
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