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Vendredi 14 janvier,
Des secouristes ont retrouvé les cadavres de deux touristes français tombés dans une crevasse du volcan Osorno à quelque 1.000 km au sud de Santiago, a annoncé samedi la presse chilienne.

Les deux touristes décédés, Tomy Loreu (22 ans) et Armal Chavonnier (23 ans) , étaient avec deux autres Français à environ 2.400 m d'altitude quand ils sont tombés dans une crevasse sur le versant nord du volcan.

"Un groupe de Français a décidé de faire l'ascension du volcan dans la matinée malgré des mises en garde en raison du mauvais état du terrain", a déclaré à une radio chilienne Carlos Sepulveda, un responsable des équipes de secours.

SANTIAGO (AFP)


Comment un article aussi dramatique peut-être si imprécis, les personnes mortes se prénomment  Tony Lorieu et Arnaud Charbonnier et étaient accompagnés de 3 amis. (Jo, Psychopathe et Loïc)... Ils ont eu l'autorisation de gravir le volcan au bout de deux jours d'attentes...

Merci pour ta fraicheur de vivre nono !!!

LA BETISE HUMAINE

                Je cours, puis m’élance de branche en branche afin d’essayer de mettre le plus de distance possible entre moi et mes poursuivants. Je suis dans mon élément, la forêt est mon habitat, mais je dois la fuir le plus vite possible sans me préoccuper de ce qui va malheureusement advenir d’elle. Le vent fouette mon visage et je me déplace parmi les arbres avec souplesse et allégresse, évitant leurs troncs  au dernier moment.  Ils défilent autour de moi à grande vitesse, mais pourtant ces géants, gardiens de ma demeure, restent immobiles, stoïques, résolus à l’abominable mort par le feu et la hache de l’homme qui leur est réservé. Les arbres sont les choses que j’aime le plus au monde, les arbres sont la vie, ou plutôt les arbres font partie intégrante de ma vie, je ne peux pas m’en passer… mais que vais-je devenir sans eux… Pour l’instant je ne peux pas m’en préoccuper, qu’une seule idée me vient en tête, fuir et échapper à l’esclavage. J’entends les balles se figer autour de moi dans les troncs et siffler prés de mes oreilles. Tout cela est accompagné d’une montée d’adrénaline qui  me donne de nouvelles forces et clarifie mes pensées sur qu’un seul but, la fuite, chose que je dois atteindre à n’importe quel prix.

            Je suis chez moi, dans une jungle d’arbres millénaires hautes de quelques centaines de mètres et situé dans un coin reculé de la terre dont la situation géographique n’a aucune importance pour moi. La seule chose qui m’intéresse et que je puisse y  vivre heureux, en harmonie avec la nature avec les êtres qui me sont chères. Une vie simple, dénoué des valeurs humaines que je ne comprends pas qui sont le travail, le capitalisme, l’argent, la mondialisation, le libre marché, la politique… Mais une vie sans stress et tellement plus heureuse. Je ne veux pas faire partie de ce monde... Mon peuple cache déjà sa faculté de parole pour éviter d’être pervertis par la bêtise humaine...

            Mais là, c’est le summum de la bêtise, en plus de détruire ma maison en la brulant pour former de nouveaux pâturages ou à coup de hache afin de construire de beaux meubles ou encore des terrasses en bois exotique. Ils ont décidé de nous capturer moi et les miens afin de nous échanger à des zoos contre de vulgaires bouts de papiers. Que vais-je devenir moi pauvre petit orang outan …

FIN

            Inspiré d’une légende de Bornéo qui dit que les orangs outans savent parler, comme vous et moi, mais se taisent par peur que les hommes les obligent à travailler.

   

                Je m’autorise une pensée fort simple : imaginons que tous s’arrête en 2012, comme les mayas l’avaient prédit ! Je vois déjà toutes les personnes se gausser de moi en me disant : « Toi ! Tu crois en cette fable, cette légende maya, tu es bien naïf !!! ». Je vais y répondre en vous proposant une réflexion très simple sur qui est le plus naïf :  le visionnaire incompris ou le critique ingénu.

            Je pense qu’il est  d’abord important de ce mettre d’accord sur ce qui fait de quelqu’un de naïf et je pense que vous serez d’accord avec moi si je définis le naïf comme quelqu’un émettant des propos non pensées, simples et irréfléchis.

            En répondant spontanément que j’étais naïf, avez-vous réfléchit à pourquoi j’ai émis la pensée que  les mayas aurait peu être étaient clairvoyant sur notre futur ? Je ne pense pas trop me tromper en affirmant que vous m’imaginez comme quelqu’un voyant la fin du monde approché tel une immense vague dévastant tout sur son passage accompagnée d’une pluie de météorites!

            Mais vous vous trompez ce n’est pas comme ça que je vois les choses, ouvrez grand vos yeux : la fin du monde sera provoqué par un inversement de rotation de l‘axe de la Terre ! Je ne vais pas au cinéma voir des scénarios où l’Amérique à encore une fois de plus sauvé l’humanité, moi, mais j’arrive parfaitement à imaginer cette hypothèse, parce que depuis déjà de nombreuses années le monde tourne à l’envers et même ne tourne pas bien rond. Il faut être vraiment naïf pour ne pas l’avoir remarqué, surtout que nous en avons la preuve tous les soirs à 20h… Pollution, massacre, famine, multiplication exponentielle de la population mondiale et j’en passe car je ne connais pas toutes les raisons de toute façon. La faim d’argent engendré par le capitalisme provoquera la fin du règne autocratique de l’homme sur terre. Et oui il faut ouvrir les yeux, si ça continue comme ça les mayas pourrait avoir raison sur la décennie qui marqueras la fin de l’humanité, et par la même occasion la libération du monde d’une grosse sangsue !

            Et voila, une réponse spontanée donc irréfléchi et le fait de cataloguer une personne définit bien quelqu’un de naïf. Par contre, quelqu’un qui croit plus ce qui ce passe autour de lui que les films américains m’a tous l’air d’être quelqu’un de censé (sans vouloir me vanté bien entendu).  Tout du moins, j’espère de tout mon cœur être naïf ! Promis je regarderais le chef d’œuvre cinématographique qu’est 2012 et j’irais manger à McDonald!

J’ai envie d’écrire mais je ne sais pas d’inspiration, avouez c’est plutôt chiant… M’en fou j’écris quand même, au diable l’éthique, au diable la morale et au diable l’orthographe après tout je suis le maitre de ce que j’écris ! Je viens de me rendre contre que j’écris en fonction des sentiments que m’inspire la musique, encore mieux j’écris même au rythme de la musique, comme si les touches de mon ordinateur pouvais produire milles et unes mélodies… quel bel instruments est le clavier… il est le piano des poètes !

Bref, que me dit mon très cher alpha dans les oreilles… laissez nous tranquilles, allez vous en, nous ne voulons plus de vous et vous non plus… Petite note personnelle : enfoirés de capitalistes !!!

Ecrire au rythme de la musique sans se préoccuper de ce que l’on écrit, sans penser que ce que l’on écrit ne veux rien et dire et ne sert à rien. Pour moi c’est une sorte de défouloir, à la manière d’un sportif qui va faire son footing matin ou du comédien qui va faire une représentation. Ah le théâtre …

La musique, la musique… les sons coulent dans mes veines et m’apaisent comme la meilleur des drogues …

Pour finir un petit jeux : retrouvez quels sont les célèbres chanteurs de la photo (la réponse se trouve dans les commentaires)

Et non je n'ai rien écrit sur mon départ de Nancy et mon arrivée à Nice ... Ni même de la finale de la coupe de la ligue des champions que je viens de regarder (vous voulez d'autres de la ou je m'arrête ?)... Mais ma mère, le voulait car oui elle s'obstine toujours à venir lire les fautes de grammaire sur mon blog ! En fait non, je vais plutôt parler de mon précédent article de philosophie paulienne que je vais poursuive suite à un message envoyé à mon cher baptiste. C'était d'ailleurs à lui que j'avais envoyé le texte d'origine sur le banc en bas de chez lui, lors d'une soirée bien « arrosée » de Nancy. Bon sans plus tarder, je me lance :

La vie est une fleure qu'il faut contempler, un arbre qu'il faut escalader. L'arbre pousse, se développe ... Tel l'enfant qui grandit et qui flatte de par son fruit la graine d'une jolie fille, pour en donner la vie. Fais attention, toi l'ami, aux gens qui veulent profiter de la vie, la couper et ainsi l'arracher à la nature pour en tirer profit. C'est pourquoi, mon frère, tu dois admirer, ainsi que respecter les arbres qui par leur sagesse nous enseigne la vie !